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La liste de discussion "FOX PAPA" regroupe environ 250 constructeurs amateurs et sympathisants, sur Yahoo ! Groupes.

Projet de dirigeable mono/biplace.
Pendant mes longues conversations téléphoniques de support informatique, avec des gens qui confondent ouvrir une fenêtre avec aérer la pièce, ou encore cliquer sur le bouton "Démarrer" avec couper l'alimentation de l'écran, mais qui se considèrent comme des as de l'informatique, auxquels, à leur propre avis, l'adage "tu connais pas, tu touches pas" ne s'applique pas...
Bref, le faible bruit de fond mental favorisant le travail cérébral, les petits gribouillages prennent forme peu à peu, les idées s'ébauchent, les dessins se précisent, jusqu'au jour où...
Mon projet personnel, croquis 001
...la décision est prise.
D'autant plus que, dans un "Traité de physique pour les élèves des lycées de jeunes filles" de 1897, j'ai trouvé ça :
Dirigeable «Zodiac»
Étonnant, non ?

Le lendemain samedi, travaux divers dans la maison, menuiserie, plâtre, etc.
Dimanche, départ pour "Chambley 2001" à 9h00, avec femme et belle-mère.
Là, je ne rencontre pas de Fox-Papistes, mais je vois un stand Limbach, ça cause à ceux qui connaissent les dirigeables.
Sur leur panneau de pub, il y a même la photo d'un dirigeable récent, tout va bien, donc.
Bon, allons y.

Un dirigeable est un ballon, donc, il contient un gaz plus léger que l'air (lequel pèse 1,3 g/l ou kg/m3) dans une enveloppe empêchant les deux gaz de se mélanger. Un ballon libre est muni dans sa partie inférieure d'un dispositif appelé "appendice" ou "manche" qui fait communiquer l'intérieur du ballon avec l'atmosphère. Cela permet d'éviter les surpressions internes, en égalisant les pressions. De ce fait, le ballon prend une forme sphérique.
Un ballon dirigeable doit au contraire avoir une forme aérodynamique, afin de favoriser son déplacement.
Cette forme sera maintenue par une surpression interne (dirigeables souples ou "blimps"), ou alors par une structure interne charpentée ou un fuselage externe (dirigeables rigides).
L'enveloppe d'un blimp est donc étanche et en légère surpression pour qu'elle garde sa forme.

Expérience aérostatique :
Soit un contenant dont le volume extérieur est de 1 m3 (1000 litres) et dont le volume intérieur est de 0,995 m3 (995 litres), et dont le poids est de 867 g.
En utilisant l'hélium, dont la masse volumique est de 0,17585 g/l on remplit ce contenant, en prenant soin de chasser l'air de façon parfaite (Oui, bon, c'est une expérience, hein).
Que se passe-t'il si on pose le truc sur une balance ?
Son poids est de
867 + (995 × 0,17585) = 1041,97075 g
Or, en vertu du principe d'Archimède, tout corps plongé dans un liquide en ressort mouillé, ce qui fait que s'exerce sur notre contenant une force dirigée de bas en haut correspondant au poids du volume d'air déplacé, soit
1000 × 1,3 = 1300 g
Notre contenant va donc afficher sur la balance un poids de
1041,97075 - 1300 = -258,02925 g
Poids négatif, qui permet à notre ballon d'équilibrer dans l'air une charge utile de 258 g ! La poussée d'Archimède

Le ballon, puisqu'il faut bien l'appeler ainsi, utilisé pour l'expérience est de forme sphérique, construit en feuilles de plastique de 1 mm d'épaisseur pesant 180 g/m2
Ce type de construction peut être facilement allégé pour augmenter la charge utile.

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Un dirigeable est un ballon, donc, il contient un gaz plus léger que l'air (lequel pèse 1,3 g/l ou kg/m3) dans une enveloppe empêchant les deux gaz de se mélanger. Un ballon libre est muni dans sa partie inférieure d'un dispositif appelé "appendice" ou "manche" qui fait communiquer l'intérieur du ballon avec l'atmosphère. Cela permet d'éviter les surpressions internes, en égalisant les pressions. De ce fait, le ballon prend une forme sphérique. Un ballon dirigeable doit au contraire avoir une forme aérodynamique, afin de favoriser son déplacement. Cette forme sera maintenue par une surpression interne (dirigeables souples ou "blimps"), ou alors par une structure interne charpentée ou un fuselage externe (dirigeables rigides). L'enveloppe d'un blimp est donc étanche et en légère surpression pour qu'elle garde sa forme.
Expérience aérostatique : Soit un contenant dont le volume extérieur est de 1 m3 (1000 litres) et dont le volume intérieur est de 0,995 m3 (995 litres), et dont le poids est de 867 g. En utilisant l'hélium, dont la masse volumique est de 0,17585 g/l on remplit ce contenant, en prenant soin de chasser l'air de façon parfaite (Oui, bon, c'est une expérience, hein). Que se passe-t'il si on pose le truc sur une balance ? Son poids est de 867 + (995 × 0,17585) = 1041,97075 g Or, en vertu du principe d'Archimède, tout corps plongé dans un liquide en ressort mouillé, ce qui fait que s'exerce sur notre contenant une force dirigée de bas en haut correspondant au poids du volume d'air déplacé, soit 1000 × 1,3 = 1300 g Notre contenant va donc afficher sur la balance un poids de 1041,97075 - 1300 = -258,02925 g Poids négatif, qui permet à notre ballon d'équilibrer dans l'air une charge utile de 258 g !
Le ballon, puisqu'il faut bien l'appeler ainsi, utilisé pour l'expérience est de forme sphérique, construit en feuilles de plastique de 1 mm d'épaisseur pesant 180 g/m2 Ce type de construction peut être facilement allégé pour augmenter la charge utile.